Dans les coulisses de la série

Depuis que la FOX a donné le feu vert à JOEL WYMAN, on a beaucoup parlé de son inspiration, de ses liens avec la Defense Advanced Research Projects Agency ou le M.I.T. .

Si ces avancées technologiques nous attendent demain, comme se plait à le répéter à longueur d'interviews KARL URBAN, il n'en reste pas moins vrai que repose sur les épaules de la production le résultat à l'écran.

Grâce aux progrès de la 3D, que le héros qu'il interprète soit amputé ne pose plus aucun problème... dès aujourd'hui.

(c) LIANE HENTSCHER pour FOX

La production n'a pas reçu la note de service de la mairie ou a-t-elle préféré profiter du statu quo et se servir de la vue extraordinaire des viaducs jumeaux Georgia et Dunsmuir avant que Gregor Robertson, le maire de Vancouver ne parvienne à les faire démolir ! De toute façon, la série se passe à Los Angeles, non ?

Mais, en dépit des apparences, il n'y a pas que les infographistes qui soient sur le pont.

Sur le set, les décorateurs et les accessoiristes eux aussi s'affairent. Et le plus souvent, ils sont obligés de faire preuve de beaucoup d'imagination et d'ingéniosité !

Par exemple, vous aurez remarqué dans le pilote, le petit objet que régurgite le prisonnier.

Il s'agit tout simplement d'un aimant clignotant comme ceux que vous avez tous achetés avant de sortir faire la fête ou pour décorer le costume de Buzz l'éclair du petit dernier à Halloween.

Deux autres exemples tirés du deuxième épisode. Comme au bon vieux temps de STAR TREK dans les années 60 quand une salière devenait la partie détachable du tricorder de BONES, SEBASTIAN JONES se sert d'abord d'un allume-gaz flexible pour tester la sexbot....

... puis d'un réfractomètre pour aquarium marin (mesure la salinité et la densité de l’eau) auquel on a ajouter une LED.